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    Compost agricole : techniques de fabrication, équipements indispensables et bonnes pratiques pour les exploitations

    By Didier17/11/2025Updated:13/12/2025Aucun commentaire12 Mins Read
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    Compost agricole : techniques de fabrication, équipements indispensables et bonnes pratiques pour les exploitations
    Compost agricole : techniques de fabrication, équipements indispensables et bonnes pratiques pour les exploitations
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    Sur une ferme, on passe sa vie à transformer quelque chose en autre chose : de l’herbe en lait, du grain en pain… et des « déchets » en richesse. Le compost, c’est exactement ça : l’art de transformer tout ce qui traîne dans la cour de ferme en un fertilisant stable, vivant et précieux. Pas de magie, juste de la biologie bien menée, un peu de matériel et du bon sens paysan.

    Dans cet article, on va voir comment fabriquer un compost agricole de qualité, quels équipements sont vraiment utiles, et quelles bonnes pratiques permettent d’éviter de perdre du temps, de l’azote… et des nerfs.

    Pourquoi le compost a toute sa place sur une exploitation moderne

    Pendant des années, on a cru qu’un bon engrais minéral valait mieux que tous les fumiers du monde. Résultat : des sols qui se fatiguent, des matières organiques qui s’effondrent, et des cultures qui deviennent capricieuses. Le compostage, c’est une façon de reprendre la main.

    Un bon compost agricole, c’est :

    • Un fertilisant : il apporte de l’azote, du phosphore, du potassium, mais sous une forme plus douce et plus progressive que les engrais minéraux.
    • Un amendement : il nourrit le sol avant de nourrir la plante, en augmentant la matière organique stable et en améliorant la structure.
    • Un outil sanitaire : bien mené, le compostage réduit les graines de mauvaises herbes, les germes pathogènes et les odeurs des effluents.
    • Un allié économique : il valorise ce que vous avez déjà sur la ferme (fumiers, pailles, refus de récolte, déchets verts) au lieu d’acheter toujours plus d’intrants.

    Dans un système bio ou agroforestier, le compost est presque incontournable. Mais même en conventionnel, il fait souvent la différence sur la résilience des sols, surtout avec les étés secs et les coups de chaud qui se répètent.

    Comprendre ce qui se passe dans un tas de compost

    Avant de sortir le chargeur frontal, un peu de théorie (promis, pas longtemps). Un compost, c’est juste un buffet à volonté pour les microbes. Pour qu’ils fassent le boulot à votre place, il leur faut quatre choses :

    • Du carbone (C) : les matières « sèches » et ligneuses (paille, copeaux, feuilles mortes, bois broyé…). C’est le carburant.
    • De l’azote (N) : les matières « vertes » et riches (fumiers frais, lisier épaissi, herbe, déchets de légumerie…). C’est la protéine.
    • De l’oxygène : sans air, on bascule dans la fermentation anaérobie, les odeurs et les pertes d’azote.
    • De l’eau : trop sec, rien ne se passe ; trop mouillé, ça tourne à la gadoue qui pue.

    On parle souvent du rapport C/N. En simplifiant, un bon compost démarre autour de 25 à 35 de C pour 1 de N. En pratique, ça veut dire :

    • Un fumier très pailleux : beaucoup de C, peu de N.
    • Un lisier ou un fumier de volaille : beaucoup de N, peu de C.
    • Un bon mélange des deux : le début du bonheur.

    La température est un excellent indicateur : un tas bien construit démarre vite, monte à 55–65 °C pendant quelques jours à quelques semaines, puis redescend doucement. À ces températures, les graines de beaucoup d’adventices, certains pathogènes et parasites prennent une bonne claque, tout en laissant la place à une flore microbienne utile.

    Les principales techniques de compostage en exploitation

    Sur une ferme, on ne fait pas du compost comme on fait un petit tas de déchets de cuisine derrière la maison. Les volumes, le temps et la logistique n’ont rien à voir. Voici les grandes approches qui fonctionnent bien sur le terrain.

    1. Les andains au champ ou sur plateforme

    C’est la méthode la plus répandue :

    • On forme de longs tas (andains) de 1,5 à 2,5 m de hauteur, 3 à 4 m de base.
    • On y met fumiers, lisiers épaissis, déchets verts, pailles, voire broyat de branches.
    • On les retourne une ou plusieurs fois pour réoxygéner.

    Les andains peuvent être installés :

    • Directement au champ, sur sol portant, si les effluents sont plutôt fermes et le climat pas trop pluvieux.
    • Sur une plateforme bétonnée avec récupération des jus, surtout pour les fumiers très humides et pour rester dans les clous réglementaires.

    2. Le compostage en tas statiques aérés

    Moins courant en France sur petites et moyennes fermes, mais intéressant quand on manque de main-d’œuvre ou qu’on veut limiter les manutentions :

    • On forme un tas « fixe », parfois sur des drains ou des tuyaux percés.
    • L’air circule par tirage naturel ou par petite soufflante.
    • On évite ou on limite les retournements, mais on soigne l’assemblage initial.

    Investissement un peu plus technique, mais intéressant sur des volumes réguliers de déchets (légumerie, coop, plateformes intercommunales).

    3. Le compostage de surface et paillage composté

    Pratiqué surtout en maraîchage ou sous verger/agroforesterie :

    • On applique des couches de matières organiques (fumier composté grossier, BRF, déchets verts) directement sur le sol.
    • Le compostage se fait en grande partie in situ, à la surface ou en tout début d’enfouissement.

    C’est intéressant pour limiter le travail du sol et protéger la surface, mais ça suppose de bien gérer les doses pour éviter les famines d’azote ou les excès sur cultures sensibles.

    Étapes pratiques pour monter un tas de compost agricole efficace

    Entrons dans le dur : comment on s’y prend, concrètement, pour monter un tas qui va vraiment composter, pas juste pourrir au fond de la cour.

    1. Choisir l’emplacement

    • Sol portant, pas inondable, accès facile au tracteur toute l’année.
    • Éloigné des habitations (odeurs, mouches au démarrage, bruit du télesco…).
    • Si possible, léger dévers pour drainer mais avec récupération des jus.

    Un petit vent dominant qui emporte les odeurs vers les champs plutôt que vers le village, ça évite aussi quelques engueulades à la boulangerie.

    2. Préparer les matières

    • Fractionner les éléments trop grossiers : broyer les branchages, déchiqueter les grosses mottes de fumier sec.
    • Mélanger dès le départ les sources riches en azote (lisier, fumier de volaille) avec des structurants (paille, broyat, refus de cultures).
    • Éviter de mettre plus de 30–40 % de lisier pur dans un andain, sous peine d’odeurs et de pertes.

    3. Monter le tas couche par couche

    Avec un chargeur frontal ou un télescopique :

    • Former un andain bien bombé pour l’écoulement de l’eau (pas de cuvette au milieu).
    • Alterner les couches « sèches » et « humides » si les matières ne sont pas pré-mélangées.
    • Vérifier à la main l’humidité : en serrant une poignée de mélange, ça doit se tenir en boule sans dégouliner.

    Si c’est trop sec, on peut apporter un peu de lisier ou d’eau lors du montage. Trop mouillé ? Ajouter des matériaux structurants (paille, broyat, refus de céréales).

    4. Laisser monter en température… puis retourner

    • Les premiers jours, la température peut grimper très vite (jusqu’à 60–65 °C).
    • On surveille (thermomètre de compost ou simple tige métallique testée à la main).
    • Quand la température se stabilise ou redescend, c’est souvent le bon moment pour le premier retournement.

    Le retournement :

    • Apporte de l’oxygène.
    • Remélange les zones trop froides (bords) avec le cœur du tas.
    • Permet de corriger l’humidité (on arrose ou on rajoute du sec si besoin).

    Sur beaucoup de fermes, 1 à 3 retournements suffisent. Plus on retourne, plus on accélère, mais plus on consomme de GNR et d’heures de tracteur. Il faut trouver le bon compromis.

    5. Maturation

    Après la phase très chaude, le compost continue à travailler doucement :

    • La température redescend vers 30–40 °C, puis proche de l’ambiante.
    • La structure devient plus grumeleuse, la paille n’est quasiment plus reconnaissable.
    • L’odeur change : on passe du fumier à une odeur de sous-bois.

    Suivant les matières, le climat et l’intensité des retournements, on obtient un compost mûr en 3 à 9 mois. En bio, pour respecter certaines certifications, on vise souvent 6 mois minimum avec une phase chaude bien marquée.

    Les équipements indispensables (et ceux qu’on peut se permettre de rêver)

    On peut faire du compost avec très peu de matériel, mais quelques outils changent vraiment la donne quand les volumes augmentent.

    Le minimum syndical

    • Un tracteur équipé d’un chargeur frontal ou d’un télescopique : pour monter les andains, les retourner et charger l’épandeur. Sans ça, oubliez les gros volumes.
    • Un épandeur à fumier : idéalement capable de bien émietter le compost à l’épandage. Les hérissons verticaux ou horizontaux font le job, à adapter aux doses voulues.
    • Un thermomètre de compost : une sonde d’au moins 50–80 cm. Ce n’est pas un gadget : vous savez enfin ce qui se passe à l’intérieur du tas.

    Le confort qui change la vie

    • Un retourneurs d’andains (monté sur PDF) : on peut retourner des centaines de mètres d’andains à une vitesse inatteignable au godet, avec un mélange plus homogène et une belle forme de tas. Investissement intéressant à partir d’un certain volume ou en CUMA.
    • Un broyeur de végétaux ou de bois (BRF) : pour transformer les haies, tailles d’arbres, coproduits de scieries en structurant carbone. Particulièrement pertinent sur fermes agroforestières.
    • Une plateforme bétonnée avec muret et système de récupération des jus : confort de travail, propreté, conformité réglementaire, surtout pour les effluents humides.

    Les petits outils malins

    • Un testeur d’humidité ou simplement… vos mains : pour éviter les andains trop secs.
    • Une bâche respirante (géotextile spécifique compost) : protège de la pluie battante et du dessèchement, tout en laissant respirer le tas.
    • Quelques piquets numérotés : pour dater les andains, noter les mélanges, suivre les essais.

    Bonnes pratiques pour tirer vraiment profit du compost sur la ferme

    Un compost de qualité, c’est bien. Un compost bien intégré dans le système d’exploitation, c’est encore mieux. Voilà quelques repères issus du terrain.

    1. Raisonner les flux sur l’année

    Sur une ferme d’élevage, les effluents arrivent… tous les jours. Le compostage doit être pensé en flux continu :

    • Planifier une période de montage d’andains (par exemple à la sortie de l’hiver).
    • Organiser les rotations de tas pour qu’au moment des épandages réglementaires, vous ayez du compost mûr prêt à partir.
    • Éviter de multiplier les manipulations : chaque coup de godet coûte en temps et en diesel.

    2. Adapter les doses et les périodes d’épandage

    • En grandes cultures : souvent 5 à 15 t/ha de compost mûr suffisent, en complément d’autres apports organiques ou minéraux.
    • En maraîchage : doses plus élevées possibles (20–30 t/ha), mais attention au risque d’excès de phosphore.
    • Sous verger ou haies agroforestières : apports réguliers mais modérés, plutôt en surface, à l’automne ou en sortie d’hiver.

    L’idéal est de raisonner le compost non pas comme « l’engrais principal », mais comme un investissement structurel dans le sol, à combiner avec d’autres leviers (couverts végétaux, rotations, légumineuses).

    3. Suivre l’évolution de la fertilité

    On ne pilote pas sérieusement sans quelques analyses de sol de temps en temps :

    • Suivre la matière organique (et surtout sa qualité, via le taux d’humus quand c’est mesuré).
    • Observer l’évolution du pH, P, K et des oligo-éléments.
    • Regarder aussi ce que dit le sol lui-même : structure, nombre de vers de terre, porosité, croûtes de battance…

    Si au bout de 5 à 10 ans de compostage bien mené, votre sol n’a pas changé d’allure, c’est qu’il y a un loup : doses insuffisantes, compost trop pauvre, ou autre facteur limitant (travail du sol, rotations trop courtes, etc.).

    4. Valoriser au-delà de la ferme

    Sur certaines exploitations, le compost devient aussi un produit commercialisable :

    • Vente à des maraîchers, paysagistes, collectivités.
    • Partenariats avec des communes pour valoriser les déchets verts, en échange d’un retour de compost.

    Ça demande un peu plus de rigueur (traçabilité, analyses de compost, parfois certification), mais ça peut devenir un complément de revenu tout en renforçant l’ancrage local de la ferme.

    Erreurs fréquentes, odeurs tenaces et petits trucs de terrain

    On apprend souvent plus de ses bourdes que de ses réussites. Voici un petit tour d’horizon des pièges classiques.

    Andains trop mouillés

    • Symptômes : tas qui s’affaisse, odeur d’œuf pourri, jus qui coulent.
    • Causes : trop de lisier, pluie battante sans bâche, matières trop fines tassées.
    • Remède : apport de structurants (paille, broyat), retournement par temps sec, bâchage.

    Andains trop secs

    • Symptômes : température qui ne monte pas, paille quasi intacte après plusieurs semaines.
    • Causes : paille très sèche, matières trop pauvres en azote, pas assez de contact entre les éléments.
    • Remède : ajouter des matières riches (lisier, fumier frais, herbe), arroser au retournement.

    Mauvaises odeurs persistantes

    • En principe, un compost bien aéré sent fort au début, mais pas « mauvais » longtemps.
    • Les odeurs d’ammoniac (piquant) ou d’œuf pourri (soufre) traduisent des pertes d’azote et des fermentations indésirables.
    • La première réponse, c’est presque toujours : remettre de l’air (retournement) et rééquilibrer C/N.

    Petits trucs d’agriculteur

    • Gardez une zone “stock carbone” (balles de paille, broyat) près de la fumière : dès qu’un lisier ou un fumier très riche arrive, vous avez de quoi l’équilibrer.
    • Faites un petit journal de compost : date de montage, composition grossière, dates de retournement, températures maxi. Au bout de trois ans, vous aurez votre recette maison.
    • Ne cherchez pas la perfection : un compost « paysan », bien fait, vaudra toujours mieux qu’un tas de fumier qui fermente mal. La régularité vaut plus que le gadget sophistiqué.

    Pour finir : un engrais… mais surtout une manière de penser la ferme

    Composter à l’échelle de l’exploitation, ce n’est pas juste « faire un tas de fumier un peu mieux rangé ». C’est une manière de voir la ferme comme un organisme cohérent :

    • Les déchets des uns (bêtes, cultures, haies, atelier de transformation) deviennent la ressource des autres.
    • Le sol n’est plus un simple support, mais un partenaire vivant qu’on nourrit et qu’on entretient.
    • On gagne en autonomie, en résilience, et souvent en sérénité devant la volatilité des prix des engrais.

    Évidemment, ça demande un peu de temps, quelques investissements, et l’acceptation de se tromper au début. Mais une fois que les andains tournent bien, et qu’on voit les sols se transformer, on a rarement envie de revenir en arrière.

    Si vous hésitez à vous lancer, commencez simple : un seul andain bien suivi, un thermomètre, deux retournements, et un carnet de bord. Le reste viendra avec la pratique, la météo… et deux ou trois coups de gueule quand le tas ne fera pas ce que vous voulez. C’est aussi ça, la vie avec le vivant.

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